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N° 234 – Avril 2008 – Bulletin pyrénéen n° 476

Vallée d’Ossau : voyage en préhistoire
Les carnets de Casteret : suite de notre document
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L’ossau depuis Er.
(Cliché Ph. Guilbaud, Ossau - Photo Arudy).
Ce nouveau numéro de Pyrénées, disponible depuis le début avril, présente en couverture une silhouette familière que tous les habitués et les amoureux de la vallée d’Ossau auront reconnue. Le Pic du Midi d’Ossau est planté dans le fond du décor, saisissante photo de Ph. Guilbaud, prise quelque part entre Aspe et Ossau pour illustrer le document de Geneviève Marsan sur les préhistoriens de la vallée d’Ossau et leurs trouvailles.

Au dos de ce numéro, il s’agit tout simplement d’une photo de l’Aneto, vu du Portillon Supérieur. Cette photo d’Alain Bourneton annonce le récit de Jean Ritter, parti une nouvelle fois àla conquête du point culminant…

 Sommaire

114 Éditorial par Pierre-Marie Cortella
117 Préhistoire et figures originales de préhistoriens de la vallée d’Ossau par Geneviève Marsan
135 Ultime Aneto par Jean Ritter
143 L’âpre et poétique parcours de Norbert Casteret vers les sources de la Garonne, 2e partie - Année 1929 par Norbert Casteret
171 Le modeste Alphonse Lequeutre 1829-1891 par Silvio Trevisan
187 QUatre publications sur l’Aude : abbayes, prieurés, toponymie et hydronomie par Louis Laborde-Balen
191 Des écrivains àGavarnie - Les voix du monde au cœur des Pyrénées par Françoise Besson
195 Bibliographie pyrénéenne : livres récents par Claude Dendaletche
201 Hors des sentiers battus… Maurice Pouy (1921-2007) montagnard atypique par Jacques Piraud
207 Chroniques par Gérard Raynaud

À lire aussi :
La photo et les mots, p. 170
Quels noms donner aux voies d’escalade ?, p. 186
Trait d’union, p. 206
Assemblée générale de l’association des amis du Musée pyrénéen, p. 223

 Ã‰ditorial

par Pierre-Marie CORTELLA

Entre nous et Internet !

En « bouclant  », début décembre, le numéro de Pyrénées daté de janvier 2008, nous ne nous doutions pas que SÅ“ur Marie Casteret n’aurait pas la joie de découvrir, en pleine page de couverture de notre revue, la photo de son père, Norbert Casteret dont nous entamions la publication des carnets inédits. Nanou Saint-Lèbe, qui avait noué une relation amicale et confiante avec la religieuse, avait obtenu depuis peu son accord en vue de la publication des fameux carnets de l’explorateur spéléologue consacrés àsa quête et sa découverte des sources de la Garonne.

Marie Casteret était la plus jeune des enfants de Norbert et Élisabeth Casteret. Elle n’avait pas connu sa mère décédée en mai 1940, quelques semaines après sa naissance, mais elle était restée jusqu’au bout, sans rien abandonner de son engagement religieux dans la région de Saint-Gaudens, l’« assistante  » fidèle de celui dont elle disait qu’il était « spéléologue célèbre et le meilleur des pères  ». Retirée àLectoure, dans le Gers, au couvent des SÅ“urs de la Providence, elle ressentait jour après jour les fatigues de la maladie mais veillait toujours sur la mémoire de son père. Grâce àelle et àses sÅ“urs aînées, Maud, Gilberte et Raymonde, nous pouvons poursuivre la publication de ces précieux textes qui viennent enrichir la bibliographie déjàconsidérable de Norbert Casteret. Décédée peu de temps avant Noë l, SÅ“ur Marie Casteret repose désormais dans le caveau familial àAuzas, près de celui qui reste àjamais le précurseur et le chantre de la spéléologie moderne.

Le deuxième volet de ces carnets publié dans le présent numéro de Pyrénées décrit en détail les courses et explorations des Casteret au cours de l’année 1929. Tandis qu’une terrible fièvre économique et sociale faisait trembler le monde, tel un moine obstiné, sans autres moyens que sa volonté, sa condition physique exceptionnelle, son intuition et sa curiosité sans cesse renouvelée, Norbert poursuivait en famille ses expéditions spartiates et rustiques. Si ce document nous paraît précieux, c’est parce qu’il touche àla fois àl’intimité et àl’histoire. Ni spectacle, ni esbroufe, ni sponsors… et pourtant, quelle matière humaine et quel matériau littéraire ! Nous restons proches de Norbert Casteret parce qu’il y a la montagne, l’aventure et la fraternité. Et que des hommes comme ceux-là, àquatre-vingts ans de distance, puissent encore nous fasciner, a quelque chose de rassurant.

Nous resterons encore dans ce récit au long cours dans le deux prochains numéros et nous envisageons de réunir les quatre volets qui auront ainsi été publiés lors des quatre livraisons de l’année 2008 dans un numéro hors série àparaître avant les fêtes. Nous indiquerons très vite les conditions dans lesquelles nos lecteurs et les amis de notre revue pourront acquérir ce document unique.

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L’Aneto vu du Portillon Supérieur.
(Photo Alain Bourneton).

Pyrénées peut aujourd’hui s’enorgueillir d’être l’une des plus anciennes revues françaises. Depuis 1896, la flamme ne s’est pas éteinte. J’ai plaisir àle rappeler car c’est tout de même une performance que l’on doit àdes transmissions de témoin sans défaillance. Témoin de son temps également, notre revue s’est dotée depuis quelques années d’un site Internet qui vaut le détour. S’y plonger, c’est atteindre virtuellement la montagne, nos montagnes, celles de l’esprit et celles du cÅ“ur. Ce que l’on trouve sur www.revue-pyrenees.com ne se raconte pas car c’est un panorama àtiroirs multiples. Ce site qui connecte Pyrénées au XXIe siècle, cent ans après la disparition de Russell, ne sacrifie en rien àun rite de la mode ou de la modernité. Il existe parce que nous considérons qu’il est utile et efficace pour faire connaître et vivre la revue. Depuis ses origines, au temps du Bulletin Pyrénéen, et depuis son renouveau dans sa formule actuelle, des milliers d’articles ont été publiés. Ils constituent un patrimoine, une culture, une base documentaire inestimables dans des domaines extrêmement variés avec ce mot-clef àla source : Pyrénées.

Outre l’actualité vivante des Pyrénées d’aujourd’hui, des éclairages sur les dossiers et les numéros spéciaux de la revue, il est possible d’explorer la base documentaire grâce àun moteur de recherche. On peut par exemple s’interroger sur le fait de savoir quand et comment la revue Pyrénées a parlé de Norbert Casteret par le passé. Eh bien, le moteur de recherche répond, cite les articles où apparaît le nom du spéléologue mais aussi ceux que Norbert Casteret a pu écrire spécialement pour les lecteurs de Pyrénées. Dans le numéro 44, daté d’octobre 1960, on trouve en effet un grand article signé par Norbert Casteret lui-même et consacré àla Grotte Casteret, la grotte glacée la plus élevée du monde, située en territoire espagnol, derrière la Brèche de Roland.

Un mot-clef sur la géologie, la botanique, les sciences de la vie et de la terre, le pyrénéisme, bien sà»r et tous les sujets, d’histoire, de culture, d’ethnologie, d’économie, de liaisons inter-vallées etc. , toutes les réponses sont àportée de clic. Merci aux bénévoles qualifiés et chevronnés qui font vivre ce site de plus en plus visité. Il permet aussi d’accéder, quand les numéros sont encore disponibles, aux originaux dont nous assurons la conservation. Les collectionneurs ont bien raison de s’intéresser, tant qu’il en est encore temps, aux numéros anciens de Pyrénées. Qu’on se le dise, désormais Pyrénées, le vrai, et www.revue-pyrenees.com ne vont plus l’un sans l’autre. Question de vie et de survie.

 Présentation des articles

PRÉHISTOIRE ET FIGURES ORIGINALES DE PRÉHISTORIENS DE LA VALLÉE D’OSSAU, par Geneviève Marsan

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Dolmen de Buzy, d’après Alban Recurt.
Manuscrit de la B.M. de Pau.

Ce texte qui reprend l’essentiel de la communication faite par Geneviève Marsan, secrétaire générale de la revue, lors de sa réception àl’Académie de Béarn en mai 2007 – le jour de l’orage d’anthologie qui s’abattit sur les portes de l’Ossau - est une invitation àun voyage sur le terrain et dans les temps très anciens. Rien de tel que de mettre ses pas dans ceux des pionniers de cette recherche des premières traces, des premiers vestiges. Notre auteure évoque les nobles figures de personnages passionnés et curieux : Pierre-Bernard Palassou, ecclésiastique et minéralogiste-géologue dont les travaux datent du XVIIIe siècle ; Armand-Gustave Houbigant, conseiller général-maire de Nogent, dans l’Oise, qui nous a laissé ses écrits manuscrits sur ses voyages aux Pyrénées, au beau milieu du XIXe, conservés àla bibliothèque municipale de Pau. Autres érudits, François Couarraze de Laa, enfant du pays puisque né àArudy professeur de philosophie et néanmoins archéologue distingué qui écrivit en 1859 une notice sur des monuments de l’époque gauloise et gallo-romaine, ou Paul Ramond, premier archiviste des Pyrénées de 1858 à1877. Puis viendront Félix Garrigou et Edouard Piette. Le premier, ariégeois, médecin hydrologue et préhistorien va étudier notamment la grotte d’Espalungue àArudy, mais c’est au second, magistrat et préhistorien, que l’on devra l’inscription définitive d’Espalungue au corpus des grands gisements pyrénéens.

Dolmen de Buzy, grotte de Saint-Michel d’Arudy explorée par Félix-Mathieu Mascaraux, grottes de Malarode dans la basse vallée révélées par Léon Fonteneau, fouilles contemporaines dont les fers de lance ont nom André Leroi-Gourhan, François Bordes et Denise de Sonneville-Bordes et Georges Laplace, toutes ces données parfaitement àjour sont au menu de cet étonnant voyage en préhistoire.

ULTIME ANETO, par Jean Ritter

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Le Pas de Mahomet.
(Photo Yves Pomié).

Revenant sur ses pas pour gravir une nouvelle fois le sommet des sommets de la chaîne, Jean Ritter raconte… Le refuge de la Rencluse sent le neuf, note-t-il, et il se souvient d’Antonio Abadias, le gardien légendaire d’il y a cinquante ans. Il n’est plus là, mais son arrière petit-fils assure la relève. Jean Ritter connaît la patience et des nuages qui n’annoncent rien de bon le contraindront àrebrousser chemin et àrevenir quelques jours plus tard. Vieux montagnard aguerri, il décrit l’aventure sensible, sobrement , la souffrance et la difficulté suggérées. Il parle justement de « l’intériorité de l’ascension  » et propose une lecture très personnelle du « pas de Mahomet  », avant le sommet. 116 ans, plus tôt, se souvient Jean Ritter, un autre Ritter, prénommé Henri et qui n’était autre que son propre grand père, avait escaladé les mêmes cailloux…

L’ÂPRE ET POÉTIQUE PARCOURS DE NORBERT CASTERET VERS LES SOURCES DE LA GARONNE, 2e partie, année 1929

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Le Trou du Toro.
(Photo fonds Casteret).

Où l’on retrouve le père de la spéléologie moderne dans ses expéditions àla recherche des sources de la Garonne. Ce deuxième volet des carnets inédits de Norbert Casteret nous entraîne tout d’abord dans une « mission secrète  » qui lui a été confiée par le Ministère des Travaux Publics pour aller voir de plus près si le Trou du Toro communique avec le Goueil de Jouéou. L’enjeu n’est pas mince car les Espagnols ont le projet de capter les eaux du trou du Toro. Nous sommes en mars 1929. On connaît aujourd’hui les dessous de cette mission et la note de bas de page rédigée par SÅ“ur Marie Casteret est tout àfait éclairante sur le sujet.

Parfois techniques mais toujours empreintes de chaleur et de simplicité et d’une grande précision, ces notes qui ont servi de matériau àbien des ouvrages du spéléologue prennent le lecteur par la main pour lui faire partager une aventure presque « familiale  ». Élisabeth, la lumineuse épouse de Casteret, n’est pas étrangère au charme singulier que dégagent ces pages.

Faut-il redire àquel point Pyrénées est fier de pouvoir faire connaître ces textes qui seront réunis – nous en avons le projet - dans une livraison spéciale de la revue ? En attendant, nous voici au cÅ“ur de l’action en suivant les explorateurs lors des différents épisodes (quatrième, cinquième, sixième et septième campagne, échelonnées de mars àseptembre). C’est en juillet lors de la sixième campagne que Norbert Casteret acquiert la certitude que la Garonne de Jouéou prend sa source dans les Monts Maudits… À suivre !

LE MODESTE ALPHONSE LEQUEUTRE, par Silvio Trévisan

Il est sans doute le plus méconnu de ceux de la Pléiade, la belle cordée composée des Russell, Schader, Wallon, Saint-Saud, Gourdon, Prudent et… Alphonse Lequeutre. Personnage du XIXe siècle, membre de la société Ramond, Lequeutre est l’un des pères du Club Alpin Français. Oublié sauf peut-être par les Tarbais qui connaissent la rue Lequeutre et par les collectionneurs qui conservent des exemplaires des Guides Joanne dont il fut l’auteur. Et aussi sans doute par quelques grimpeurs puisqu’une antécime du Comaloforno porte son nom.

Fonctionnaire au Ministère de la Marine et des colonies, Lequeutre nous apparaît bien loin des Pyrénées. C’est Beraldi qui raconte : « Il ne connaissait nullement la montagne et ne semblait pas taillé pour la pratiquer : de santé douteuse, le teint pâle comme le lait, le cheveu rare et décoloré, la poitrine angoissée. Vers quarante ans, il eut besoin des eaux et se fit envoyer àl’Hôpital militaire de Barèges… La passion des Pyrénées le prit. Il se mit aux ascensions et se révéla marcheur foudroyant. L’employé obscur allait devenir une célébrité pyrénéiste  ».

Silvio Trevisan a mené l’enquête pour tenter de cerner ce personnage singulier qui mérite de sortir de l’oubli.

QUEL NOM DONNER AUX VOIES D’ESCALADE ?, par Paul Bouchet

Dans ce petit texte lu lors des célébrations du cinquantième anniversaire de la première ascension du Tozal del Mallo par la face sud, Paul Bouchet relance un débat jamais soldé. Et vous, lecteurs de Pyrénées, nous donnerez-vous votre point de vue sur la question ? N’hésitez pas.

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Prieurés de l’Aude,
par R. Aymard (88 pages)

QUATRE PUBLICATIONS SUR L’AUDE :
ABBAYES, PRIEURÉS, TOPONYMIE ET HYDRONYMIE,
par
Louis Laborde-Balen

Ces quatre brochures historiques viennent enrichir les connaissances sur le passé audois. Elles sont signées de Robert Aymard, linguiste et montagnard béarnais et Jacques Carrasco, enfant de Castelnaudary. Qui savait, par exemple, que le département de l’Aude compte quelque six cents prieurés ? Robert Aymard les a recensés.

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Thomas Wharton,
romancier canadien.
(Photo Françoise Besson).

DES ÉCRIVAINS À GAVARNIE :
LES VOIX DU MONDE AU CŒUR DES PYRÉNÉES,
par
Françoise Besson

Comment des écrivains venus d’Afrique, d’Angleterre, du Canada et des États-Unis sont venus graver leur voix dans le paysage pyrénéen. Cet événement a clos le colloque international organisé àl’Université de Toulouse-Le Mirail début octobre dernier sur le thème « La montagne entre image et langage dans les territoires anglophones  ». Niyi Osundare, poète nigérian, Rick Bass, écrivain américain, Thomas Wharton, romancier canadien, Rudy Wiebe, romancier canadien, N. Scott Momaday, romancier, poète et peintre kiowa et le très britannique Kev Reynolds que les lecteurs de Pyrénées ont déjàrencontré, tous sont venus jusqu’àla Grange de Holle pour dire leur conviction, leur attachement àla montagne, leur combat et leur émotion. Un moment rare que les témoins ne sont pas près d’oublier.

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Brèves de Pyrénéisme.
Tarbes, Édicité. 2008, 180 p.

BIBLIOGRAPHIE PYRÉNÉENNE

Parmi les livres récents présentés par Claude Dendaletche et d’autres collaborateurs de la revue, on trouve notamment « Vous, gens de montagne  » d’Yves Heurte, « Souvenirs d’un pyrénéiste  » de Georges Véron, « Histoires vraies en Midi-Pyrénées  » de Santiago Mendieta qui signe également un roman, « L’or de Canfranc  », « Les petites heures du Pyrénéisme  » de Gérard Raynaud, « Chafré, un photographe aux Pyrénées d’Alain Bourneton, F. Daliphard et J.-L. Deschamps, « La crue  » de Michel Maurette, « Les grandes affaires criminelles des Pyrénées  » de Gisèle Vigouroux, « Fromages entre ciel et terre  » de Gilbert Dalla Rosa et Dominique Julien, « Vos 30 itinéraires au Pays Basque  » de Pierre Macia, « Les débuts de l’aviation àPau  » de Louis-Henri Sallenave, « Brèves de Pyrénéisme  » de Claude Dendaletche.

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Photo Maurice Pouy.

MAURICE POUY (1921-2007), MONTAGNARD ATYPIQUE, par
Jacques Piraud

C’est un bel hommage que rend Jacques Piraud àson ami Maurice Pouy, disparu l’été dernier. Professeur agrégé d’anglais au Lycée de Pau, voyageur et spécialiste de l’Orient, pêcheur et montagnard, le prof au béret basque a laissé de beaux souvenirs àses élèves. Et àJacques Piraud donc, puisque tous deux scellèrent leur amitié en partant àla conquête du Sistral, au pays des canyons et des sierras.

CHRONIQUES, réunies par Gérard Raynaud

Transports, Faits divers, Aménagement du territoire, D’un versant d’autre, Économie, Sports aux Pyrénées, Sports d’hiver, Patrimoine & Culture, Agenda, La nature & nous, Religion, Montagne, Parc national, Musée Pyrénéen, Carnet, Revues, sont au sommaire de ces pages consacrées àla petite et àla grande actualité des Pyrénées.

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DE L’ASSOCIATION DES AMIS DU MUSÉE PYRÉNÉEN DE LOURDES

Elle s’est tenue au Château Fort de Lourdes le 23 février dernier. On retrouve le compte rendu complet àla fin des chroniques de ce numéro 234.






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